La femme targuia porte des vêtements qui se différencient de peu de ceux de l'homme. Ainsi, elle porte l'ereswi, ample tunique, gandoura blanche fermée sur les côtés[116]. La femme aisée s'enveloppe également de l'ereswi bleu foncé et dans certaines régions, il est noir[116].

Jusqu'au début du XXe siècle, le péplum retenu par deux fibules, appelé akhellal, constitue la pièce principale du costume kabyle. Il est souvent confectionné à partir de laine non teintée, toutefois, il existe des modèles as well as compliqués, parcourus de stries verticales polychromes contenant des motifs géométriques aux coloris chauds[91].

Le ministère algérien de la society a privilégié les beaux-arts et relégué les arts appliqués au ministère du tourisme et de l'artisanat[142]. Même si les agences d'artisanat ont commencé à mener plusieurs campagnes pour encourager l'artisanat community, mais aucune de ces initiatives n'était conçue comme une tentative politique de renforcer l'idée de l'habillement en tant qu'élément central de l'identité algérienne ou de développer tout kind de discours nationaliste fondé sur la modernisation des traditions vestimentaires[142].

    Aujourd’hui, tous les vêtements traditionnels Algériennes ont connu une touche moderne, particulièrement les robes, c'est pourquoi la plupart des femmes les préfileèhire encore dans les events.

Il est possible de trouver des Karakous en inventory dans les boutiques spécialisées ou bien de passer commande pour une création sur mesure.

La robe actuelle. Les femmes choisissent des toiles de coton et de laine hétéroclite qui s'additionnent aux tissus distincts qui forment le turban et une haute ceinture en tissu, généralement rayé.

Sans les broderies, la kebaya sert aujourd'hui chez les Algériens qui portent ce modèle ancien sous leur gandoura ou leur veston sans revers[126]. En guise de coiffure, le haïk puis le la capuche du burnous recouvrait la tête de hommes ; furthermore tard vint la aarraqiya une petite calotte blanche, vue un partout en Algérie[128].

Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.

Le costume nuptial du XXe siècle comporte toujours la lebsat el arftan. Elle s'organise autour du caftan hérité de l'époque ottomane, et accumule en outre des pièces d'origines diverses, click here telles que le fouta et le rda, la tunique et la coiffure médiévales[35].

jouent un rôle clé non seulement dans la préservation de la tradition algérienne mais aussi dans l’acquisition d’une indépendance financière. L’artisanat du Karakou permet à un nombre considérable de femmes de générer des revenus, améliorant ainsi leur statut économique.

Il estime que dans ce domaine, la modernité ne devrait pas faire desk rase du passé, et qu’il est nécessaire de préserver le travail fait par les anciens, de le valoriser, et de l’inscrire dans l’air du temps.

C'est pour cette raison, qu'il est pour nous indispensable, pour toutes femmes maghrébines, de posséder au moins un karakou de ce colori pour les grandes situations.

Le Karakou traditionnel algérien est très diffélease de la tenue traditionnelle marocaine, la Takchita. Bien que ces deux tenues partagent des similitudes, elles ont chacune leur propre fashion et leur propre beauté.

L'arrivée des Phéniciens au IXe siècle et l'établissement de villes portuaires sur le littoral annoncent la division inévitable du paysage vestimentaire. L'essor des royaumes numides et l'affirmation d'une culture ouverte aux influences méditerranéennes conduisent à la naissance d'un système vestimentaire de character citadine qui s'éloigne peu à peu de la tradition rurale[1].